La répliques de Heuer Montréal a été dévoilée pour la première fois en 1972 et sa silhouette symbolise son époque. Le boîtier en forme de coussin mesure non seulement 42 mm supplémentaires, mais dispose également d’un cadran circulaire contrastant, qui offre des détails intrigants. Notez également que la synchronisation est à droite du boîtier et que la couronne rotative est à gauche – signe de mouvement interne.
La première génération de fausses montres montréalaises était équipée du célèbre mouvement Calibre 12 de Heuer. Heuer, Breitling, Hamilton-Buren et Dubois-Depraz unissent leurs forces pour introduire le calibre 11, l’un des premiers mouvements de chronographe automatique au monde en 1969. Cependant, en raison de problèmes mécaniques, Heuer présente le mouvement amélioré et plus performant du calibre 12 en 1971.
Le cadran de la répliques du chronographe Heuer Montréal utilise le format traditionnel bi-compax avec deux cadrans auxiliaires. Il y a un enregistreur de 30 minutes à 3 heures et un enregistreur de 12 heures à 9 heures; il y a aussi un guichet de rendez-vous à 6 heures.
Si vous regardez attentivement, vous verrez qu’il y a deux cadrans à l’extérieur du cadran – un pour les pulsations et un pour le compte-tours. Cette combinaison intelligente signifie que Montréal Hoyle peut mesurer le pouls chez le médecin ainsi que la vitesse et la distance sur la piste.
Il existe des versions en acier et en plaqué or du Montréal, ainsi qu’une gamme d’options de cadrans comprenant le blanc, le bleu, le champagne et le noir. Heuer ne produisit la première série montréalaise avec le mouvement Calibre 12 que pendant environ quatre ans, jusqu’à ce qu’il soit remplacé par la deuxième série, qui utilisait un mouvement Valjoux à la place.
Le cadran noir sport se caractérise principalement par des détails blancs. Cependant, il existe une échelle de pulsation rouge étincelante qui ajoute à la couleur populaire. En raison de l’âge de ces montres, la lume au tritium utilisée pour les mains et les mains s’est assombrie au fil des ans, ce qui est également connu des collectionneurs de répliques de montres antiques sous le nom de « bronzage ».